L’herbe se courbait face à la force du vent, elle était d’un vert éclatant, si beau, la terre moelleuse sous le poids de notre pied. Le vent soufflait fort ici mais l’herbe était habituée à ce rituel, les gens passaient de temps en temps pour passer vers d’autre bourg, là où la marchandise était bonne et moins cher que dans les grandes villes.
L’air que l’on respirait était bon, derrière la forêt donnait un petit coin d’ombre terrifiante, en passant par ce coin, on pouvait se douter que la plaine soit mieux que les ombres. Grandes, étendues et céleste, la plaine fait partit maintenant de la plus grande tranquillité du monde, les gens vienne aussi ici pour faire des dessins du paysage.